L'Afrique dans le projet des “Moteurs Duyunov”
En avril, des bureaux de représentation nationaux seront ouverts dans deux pays du continent africain: le Bénin et le Togo.
L'inscription aux conférences est ouverte:
Bénin - /events/webinars/otkrytie-nacionalnogo-predstavitelstva-v-benine-722
Togo - /events/webinars/otkrytie-nacionalnogo-predstavitelstva-v-togo-723
La Côte d'Ivoire et le Sénégal sont déjà en projet. Des réunions-présentations avec des investisseurs et des partenaires dans ces quatre pays ont lieu chaque mois, le nombre de participants augmente.
Pourquoi la technologie “Slavianka” et les “Moteurs Duyunov” sont intéressants pour les Africains?
La Côte d'Ivoire et le Sénégal, le Bénin et le Togo sont situés dans la partie occidentale du continent, la langue officielle y est le français. C’est Gilles Weber, partenaire national des "Moteurs Duyunov" en France qui a présenté le projet aux habitants de ces pays. C'est en grande partie grâce à l'enthousiasme et au travail actif de Gilles Weber et des autres partenaires que les informations sur la technologie russe et les investissements dans celle-ci sont diffusées auprès des habitants locaux.
La Côte d'Ivoire est devenue le deuxième état au monde après la France, où un bureau de représentation national du projet a été ouverte. Cela s'est produit en août 2019. Alors, la Conférence internationale en l'honneur de l’inauguration a réuni 250 personnes. Six mois plus tard, il y avait autant de participants à un événement similaire au Sénégal.
Environ 1 300 investisseurs du projet vivent dans ces quatre pays africains. Leur contribution aux “Moteurs Duyunov” est de plusieurs centaines de milliers de dollars.
Le format du financement populaire est une chance pour les personnes sans revenus élevés de participer à un projet international et de se procurer un revenu passif supplémentaire sur les investissements. C’est surtout pertinent pour les pays africains, où le revenu de la population est faible, et il y a peu de possibilités de l'augmenter. En comprenant le potentiel du projet, ils le popularisent dans leur pays dans le cadre d'un programme de partenariat, ils gagnent eux-mêmes, aident leurs compatriotes à obtenir un retour sur investissement à l'avenir et attirent les investissements dans le projet.
En soi, la technologie des moteurs à bobinages combinés est universelle. En Afrique, elle pourrait trouver la même application qu'en Asie, où les moteurs électriques à haut rendement énergétique, combinés à des panneaux solaires, peuvent purifier l'air des mégalopoles des gaz d'échappement et améliorer l'habitat des citadins. Cependant, le problème de l'air sale en Afrique n'est pas si grave, car la majorité de la population vit dans les zones rurales et s'adonne à l'agriculture. Il y a un autre problème — les décharges croissantes d'appareils électriques.
Chaque année, près d'un million de tonnes d'électronique ménagère et d'électronique contenant des substances toxiques sont rejetées en Afrique de l'ouest. C'est le résultat de la consommation intérieure et de l'exportation d'équipements usagés des pays industrialisés. Les appareils avec des moteurs de courte durée deviennent rapidement inutilisables et sont envoyés à la décharge sans traitement. En se décomposant, ils libèrent des substances toxiques dans le sol, l'eau et l'air, par exemple le plomb. L'utilisation des moteurs durables avec "Slavianka" en combinaison avec d'autres mesures peut résoudre ce problème.
Les habitants des pays d'Afrique de l'ouest, familiers avec le projet des “Moteurs Duyunov”, le perçoivent, avant tout, comme un projet d'investissement important, grâce auquel il est possible d'augmenter leur bien-être.
Cependant, grâce à la diffusion d'informations sur le projet, de plus en plus d'Africains commencent à comprendre comment la technologie “Slavianka” peut améliorer l'environnement et la qualité de leur vie.